La kinésiologie a changé ma vie.

Comme chacun, j’ai eu mon lot d’épreuves. J’ai d’abord cherché à ignorer, refouler, occulter mes problématiques. Jusqu’au jour où le fardeau m’a semblé trop lourd. J’ai compris que sans aide, je ne parviendrais pas à trouver ce subtil équilibre que certains appellent le bien-être, d’autres le bonheur.

Sur les conseils d’un ami ostéopathe et vétérinaire suisse, je me suis orientée vers la kinésiologie. Ma surprise fut de taille… En sortant du rôle (confortable, je l’admets) de victime, je me suis donnée l’occasion de prendre enfin ma vie en main. J’ai découvert le pardon. Un à un, mes bleus à l’âme et au cœur se sont estompés jusqu’à disparaître, ne laissant en filigrane que l’expérience.

Puis le besoin d’aider à mon tour s’est fait sentir. Il me fallait rendre au centuple (si j’y arrivais !!!) le bien qu’on m’avait fait. Et c’est aux animaux, fidèles compagnons de mes moments de doute et de fragilité, que j’ai entrepris de renvoyer la balle en premier. Avant de me consacrer aussi à mes semblables. La kinésiologie m’a offert cette chance en m’apprenant plus qu’un métier : un état d’être. Gratitude…

L’expertise équine, 
l’amour des animaux.”

Le cheval a toujours été mon moteur de vie, définissant tour à tour mon univers d’enfant, mes loisirs d’adolescente et orientations professionnelles. Après dix années de journalisme hippique, centrées sur la performance sportive, j’ai redécouvert mon animal de cœur par le biais de l’élevage, revenant à mes fondamentaux – des études de physiologie animale – par ce que les Chinois désignent comme la base de la santé : la nutrition. Désormais c’est une approche éthologique qui me motive. Et que je cherche à mettre en place au quotidien, dans l’idée d’améliorer sans cesse ma relation aux équidés qui m’entourent.

Mon expérience des chevaux, alliée à une solide formation de kinésiologue, me permet de les aborder différemment. De comprendre leurs besoins profonds pour cerner où se situent leurs stress émotionnels. Et bien sûr, les aider à s’en libérer pour un peu plus d’apaisement et de sérénité. 

Nathalie TARDIEU

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